Le Progrès consacre deux pages à ce début de l'Euro et titre notamment sur "Sandrine Soubeyrand qui défie le temps". A l'aube des 40 ans, la capitaine des Bleues va battre le record de la plus joueuse la plus âgée en phase finale de l'Euro féminin face à la Russie. Mais pour cette 195e sélection, Soub' ne veut pas évoquer son cas personnel : "Je suis ici dans un objectif collectif. Le reste, c’est juste pour faire des pages d’écriture et ça ne m’intéresse pas". L'interview titrée "Je remercie le petit Jésus" de Bruno Bini par Antoine Osanna est très intéressante, le sélectionneur évoque que l'équipe "est supérieure dans la manière d'aborder l'événement" espérant que "À force de tourner autour, elles vont finir par tomber dedans". Le projet de vie parfois bousculé par les médias est "Plus que jamais d'actualité" insistant que "des règles ont été établies. Si une fille les transgresse et ne s’en va pas, on l’a fait s’en aller". Alors place au terrain pour Bruno Bini qui ne veut pas envisager l'échec : "Je ne me pose même pas la question. Laissez nous jouer !"
L'Equipe présente la "bande à Boulleau" à travers la Parisienne Laure Boulleau alors que la Une du quotidien sportif annonce : "L'Europe à conquérir". Celle qui est fan de l'humour de beauf à la Patrick Sébastien donne un angle décalé et sympathique sur la bande de copines. On y apprend qu'Eugénie est leur "petite crêpe bretonne", ou encore que Gaëtane Thiney a l'esprit "brocante". Les loveuses sont nombreuses dans le groupe et Marie-Laure Delie arrive en tête, tout comme Jessica Houara ou encore Elodie Thomis ! Corine Franco, coiffeuse de formation, a toujours la main et n'hésite pas à "s'occuper des joueuses et de la mèche qui rebique" de Bruno Bini ! Enfin Louisa Necib, partenaire de chambre de Laure Boulleau est aussi très attaché à l'apparence physique que sa partenaire, par contre, la chanson des Sardines, ce n'est pas sa tasse de thé. Ce n'est pas grave Céline Deville sera là pour donner de l'ambiance !
L'Equipe présente la "bande à Boulleau" à travers la Parisienne Laure Boulleau alors que la Une du quotidien sportif annonce : "L'Europe à conquérir". Celle qui est fan de l'humour de beauf à la Patrick Sébastien donne un angle décalé et sympathique sur la bande de copines. On y apprend qu'Eugénie est leur "petite crêpe bretonne", ou encore que Gaëtane Thiney a l'esprit "brocante". Les loveuses sont nombreuses dans le groupe et Marie-Laure Delie arrive en tête, tout comme Jessica Houara ou encore Elodie Thomis ! Corine Franco, coiffeuse de formation, a toujours la main et n'hésite pas à "s'occuper des joueuses et de la mèche qui rebique" de Bruno Bini ! Enfin Louisa Necib, partenaire de chambre de Laure Boulleau est aussi très attaché à l'apparence physique que sa partenaire, par contre, la chanson des Sardines, ce n'est pas sa tasse de thé. Ce n'est pas grave Céline Deville sera là pour donner de l'ambiance !
Les Bleues valent-elles un Euro ?
Franck Gineste dans Aujourd'hui en France/LeParisien se demande si "les Bleues peuvent être championnes d'Europe ?". Pour le coach du PSG et ancien sélectionneur de la Russie, Farid Benstiti, la France a l'"un des meilleurs collectifs au Monde et arrive à maturité". L'ex entraîneur de Juvisy, Sandrine Mathivet estime qu'"elles ont appris de leurs erreurs". Farid Benstiti insiste sur le fait qu'il "faudra une vraie osmose" pour aller au bout. Dans Ouest France, le quotidien titre que "Les Bleues n’ont que la victoire en tête".
A la lecture de 20 minutes, Stéphane Marteau se demande si "Les Bleues valent un Euro ?" rappelant qu'à ce jour elles n'ont pas fait mieux qu'un quart de finale dans cette compétition. Cependant, il rappelle qu'elles sont désormais parmi les favorites mais pour Cécile Locatelli interrogée : "il manque peut-être l'individualité pour faire la différence malgré un gros collectif". Elisabeth Loisel et Hervé Didier reviennent sur l'inefficacité, à l'inverse de Locatelli, l'ex-sélectionneuse soulève le fait que dernièrement les Bleues ont manqué de jeu collectif dans les trente derniers mètres, jouant trop souvent sur des actions individuelles. Le sempiternel manque de réalisme des Bleues ? Wendie Renard souligne qu'il b["rejaillit sur [notre] confiance"]b dans Le Figaro, tout comme Marinette Pichon dans Le Parisien avec ce fameux ratio "occasions/buts".
Pour Bruno Bini, toujours dans Le Figaro, il annonce "n'avoir rarement vu ses joueuses aussi remontées", relevant que la défaite des Lyonnaises en Ligue des Champions a redonné de l'humilité. Le coach Patrice Lair revient aussi sur cet échec dans Le Parisien et dit des joueuses qu'elles sont "revanchardes". Le sélectionneur national qui disputera son deuxième Euro rappelle aussi que "les gens n'ont pas beaucoup de mémoire" revenant sur le fait qu'il y a peu de temps en arrière, la France ne se qualifiait pas systématiquement pour les phases finales et ne franchissait jamais le premier tour. Mais depuis "l'image positive des Bleues" lors de la Coupe du monde "a tout changé" finit par dire le sélectionneur.
A la lecture de 20 minutes, Stéphane Marteau se demande si "Les Bleues valent un Euro ?" rappelant qu'à ce jour elles n'ont pas fait mieux qu'un quart de finale dans cette compétition. Cependant, il rappelle qu'elles sont désormais parmi les favorites mais pour Cécile Locatelli interrogée : "il manque peut-être l'individualité pour faire la différence malgré un gros collectif". Elisabeth Loisel et Hervé Didier reviennent sur l'inefficacité, à l'inverse de Locatelli, l'ex-sélectionneuse soulève le fait que dernièrement les Bleues ont manqué de jeu collectif dans les trente derniers mètres, jouant trop souvent sur des actions individuelles. Le sempiternel manque de réalisme des Bleues ? Wendie Renard souligne qu'il b["rejaillit sur [notre] confiance"]b dans Le Figaro, tout comme Marinette Pichon dans Le Parisien avec ce fameux ratio "occasions/buts".
Pour Bruno Bini, toujours dans Le Figaro, il annonce "n'avoir rarement vu ses joueuses aussi remontées", relevant que la défaite des Lyonnaises en Ligue des Champions a redonné de l'humilité. Le coach Patrice Lair revient aussi sur cet échec dans Le Parisien et dit des joueuses qu'elles sont "revanchardes". Le sélectionneur national qui disputera son deuxième Euro rappelle aussi que "les gens n'ont pas beaucoup de mémoire" revenant sur le fait qu'il y a peu de temps en arrière, la France ne se qualifiait pas systématiquement pour les phases finales et ne franchissait jamais le premier tour. Mais depuis "l'image positive des Bleues" lors de la Coupe du monde "a tout changé" finit par dire le sélectionneur.
Les lecteurs de l'Equipe où tout du moins des Internautes ne donnent que 45% de chance aux Bleues de remporter l'Euro dans un sondage effectué il y a deux jours, 50% votent NON. Mais pour les Bleues c'est OUI à 100 % comme cette affiche à l'entrée du restaurant dans la résidence Villa Fridhem des Françaises.
