REACTIONS
Bruno Bini (sélectionneur de la France)
Dans ce match, un peu comme face à l'Irlande, il aura fallu attendre pour bien rentrer dans le match ?
On a besoin de temps en ce moment pour rentrer dans les matches. On est en préparation ! Les cinq premières minutes étaient meilleures que lorsque l'on a démarré face à l'Irlande mais après on a été gagné par le non-match des adversaires, le peu de personnes dans les tribunes. C'est un peu spécial. A la mi-temps, on a réfléchi en s'occupant de nous.
Les changements à l'image de Le Sommer ont apporté aux Bleues ?
Quand on fait des changements, on espère toujours que cela va apporter quelque chose, sinon ce n'est pas la peine de les faire. Pour Eugénie, au départ on va lui faire des débuts de match, puis une mi-temps et ensuite un match entier. On a vu qu'elle a du jeu, techniquement c'est bien et elle marque des buts aussi. Même dans l'acte défensive, elle est intéressante puisqu'elle est accrocheuse. Elle est dans la situation d'une joueuse qui a envie de tout manger et être capable de faire des sacrifices et beaucoup d'efforts pour aller plus loin en Finlande.
C'était un bon premier match, maintenant que l'on va jouer autrement si on veut inquiéter l'Angleterre. Chaque soir suffit sa peine, on va passer une bonne soirée, une bonne séance de récupération et après on prépare le prochain match. Le but n'est pas de gagner la 'Cyprus Cup' mais de bien se préparer, de voir les filles qui sont présentes, celles qui le sont un peu moins.
Bruno Bini (sélectionneur de la France)
Dans ce match, un peu comme face à l'Irlande, il aura fallu attendre pour bien rentrer dans le match ?
On a besoin de temps en ce moment pour rentrer dans les matches. On est en préparation ! Les cinq premières minutes étaient meilleures que lorsque l'on a démarré face à l'Irlande mais après on a été gagné par le non-match des adversaires, le peu de personnes dans les tribunes. C'est un peu spécial. A la mi-temps, on a réfléchi en s'occupant de nous.
Les changements à l'image de Le Sommer ont apporté aux Bleues ?
Quand on fait des changements, on espère toujours que cela va apporter quelque chose, sinon ce n'est pas la peine de les faire. Pour Eugénie, au départ on va lui faire des débuts de match, puis une mi-temps et ensuite un match entier. On a vu qu'elle a du jeu, techniquement c'est bien et elle marque des buts aussi. Même dans l'acte défensive, elle est intéressante puisqu'elle est accrocheuse. Elle est dans la situation d'une joueuse qui a envie de tout manger et être capable de faire des sacrifices et beaucoup d'efforts pour aller plus loin en Finlande.
C'était un bon premier match, maintenant que l'on va jouer autrement si on veut inquiéter l'Angleterre. Chaque soir suffit sa peine, on va passer une bonne soirée, une bonne séance de récupération et après on prépare le prochain match. Le but n'est pas de gagner la 'Cyprus Cup' mais de bien se préparer, de voir les filles qui sont présentes, celles qui le sont un peu moins.
Les deux sélectionneurs (photo : S. Duret)
Anna Signeul (sélectionneur de l'Ecosse)
C'était un bon match et un bon test pour les joueuses contre une équipe très habile et collective. Nous avons hérité de ce match après une longue trêve hivernale et peut-être vous pourriez croire que nous avons manqué de précisions et d'intensité. Les deux buts que nous avons concédés étaient en contre-attaque (sic) et je pense que nous avons prouvé que nous avons confiance pour aller de l'avant et pour prendre le jeu à notre adversaire. Malheureusement le côté français était très bon et a pu exploiter les espaces et le résultat reflète cela. Naturellement, avec un peu de chance nous aurions pu obtenir un match nul. Kirsty McBride a eu une grande chance d'égaliser et si elle avait marqué, je pense vraiment que nous aurions pu conserver au moins le nul. Les nouvelles joueuses comme Rachel Corsie ont prouvé qu'ils avaient la possibilité d'être au niveau d'un match international. C'est bien de jouer encore et contre une telle opposition de qualité. Naturellement nous sommes déçues, personne ne veut perdre un match. Nous avons appris et nous avançons. Ce tournoi est le début de notre préparations pour les qualifications de la Coupe du monde à la fin de cette année. Tant qu'il y a place pour l'amélioration je crois que nous sommes sur la bonne voie.
C'était un bon match et un bon test pour les joueuses contre une équipe très habile et collective. Nous avons hérité de ce match après une longue trêve hivernale et peut-être vous pourriez croire que nous avons manqué de précisions et d'intensité. Les deux buts que nous avons concédés étaient en contre-attaque (sic) et je pense que nous avons prouvé que nous avons confiance pour aller de l'avant et pour prendre le jeu à notre adversaire. Malheureusement le côté français était très bon et a pu exploiter les espaces et le résultat reflète cela. Naturellement, avec un peu de chance nous aurions pu obtenir un match nul. Kirsty McBride a eu une grande chance d'égaliser et si elle avait marqué, je pense vraiment que nous aurions pu conserver au moins le nul. Les nouvelles joueuses comme Rachel Corsie ont prouvé qu'ils avaient la possibilité d'être au niveau d'un match international. C'est bien de jouer encore et contre une telle opposition de qualité. Naturellement nous sommes déçues, personne ne veut perdre un match. Nous avons appris et nous avançons. Ce tournoi est le début de notre préparations pour les qualifications de la Coupe du monde à la fin de cette année. Tant qu'il y a place pour l'amélioration je crois que nous sommes sur la bonne voie.
COURT METRAGE ECOSSAIS
Le 27 février dernier, la sélectionneuse écossaise, et des joueuses internationales étaient présentes au lancement d'un court métrage sur le foot féminin intitulé “Here Come the Girls” au cinéma Odeon de Kilmarnock. Les caméras ont suivi les joueuses durant les matches de barrages les ayant opposé à la Russie avec autour le rêve d'une jeune fille de suivre ses héros. Ce film a pour but d'encourager les filles à faire du sport.
UNE CAMERA SUIT LES BLEUES
Durant les deux premiers matches des Bleues à Chypre, une caméra suit l'équipe de France en vue de préparer un film sur le football féminin et les Tricolores.
LES FRANCAISES SE DESHABILLENT
Les Tricolores se sont déshabillés devant l'oeil d'une photographe pour l'hebdomadaire gratuit "Sportweek" qui parait ce vendredi 6 mars. Voici l'actualité consacrée à cette communication de la FFF.
Le 27 février dernier, la sélectionneuse écossaise, et des joueuses internationales étaient présentes au lancement d'un court métrage sur le foot féminin intitulé “Here Come the Girls” au cinéma Odeon de Kilmarnock. Les caméras ont suivi les joueuses durant les matches de barrages les ayant opposé à la Russie avec autour le rêve d'une jeune fille de suivre ses héros. Ce film a pour but d'encourager les filles à faire du sport.
UNE CAMERA SUIT LES BLEUES
Durant les deux premiers matches des Bleues à Chypre, une caméra suit l'équipe de France en vue de préparer un film sur le football féminin et les Tricolores.
LES FRANCAISES SE DESHABILLENT
Les Tricolores se sont déshabillés devant l'oeil d'une photographe pour l'hebdomadaire gratuit "Sportweek" qui parait ce vendredi 6 mars. Voici l'actualité consacrée à cette communication de la FFF.
Corinne Diacre, à 19 ans (photo archives)
2e EDITION
Le tournoi de Chypre auquel participe les Tricolores en est à sa deuxième édition. L'année dernière, la victoire finale était revenu au Canada face à la sélection des moins de 20 ans des Etats-Unis. Les résultats sont ici.
CHYPRE, SEIZE ANS PLUS TARD
Pour les Tricolores, il s'agit aussi de son deuxième séjour à Chypre. La France était déjà venue sur les terres cypriotes en 1993, à Agia Napa. Corinne Diacre était sur le terrain et c'est d'ailleurs ici qu'elle fêté sa première sélection, quant à Marilou Duringer elle était dans la délégation. Cette année-là, ce sont les pays nordiques qui organisaient un tournoi. La France avait perdu son premier match devant la Suède (1-3, but de Sylvie Cassauba contre un triplé de Lena Videkull). Lors du second match, l'Allemagne avait infligé un 3-0 (buts de Doris Fitschen et Heidi Mohr). Dans le match de classement, la France perdait aux tirs au but (1-1, puis 3 tab à 5) (buts de Laurence Richoux pour la France contre un but de Bonny Madsen). Au final, la Norvège s'imposait en finale contre la Suède, alors que la France prenait la 6e et dernière place.
Le tournoi de Chypre auquel participe les Tricolores en est à sa deuxième édition. L'année dernière, la victoire finale était revenu au Canada face à la sélection des moins de 20 ans des Etats-Unis. Les résultats sont ici.
CHYPRE, SEIZE ANS PLUS TARD
Pour les Tricolores, il s'agit aussi de son deuxième séjour à Chypre. La France était déjà venue sur les terres cypriotes en 1993, à Agia Napa. Corinne Diacre était sur le terrain et c'est d'ailleurs ici qu'elle fêté sa première sélection, quant à Marilou Duringer elle était dans la délégation. Cette année-là, ce sont les pays nordiques qui organisaient un tournoi. La France avait perdu son premier match devant la Suède (1-3, but de Sylvie Cassauba contre un triplé de Lena Videkull). Lors du second match, l'Allemagne avait infligé un 3-0 (buts de Doris Fitschen et Heidi Mohr). Dans le match de classement, la France perdait aux tirs au but (1-1, puis 3 tab à 5) (buts de Laurence Richoux pour la France contre un but de Bonny Madsen). Au final, la Norvège s'imposait en finale contre la Suède, alors que la France prenait la 6e et dernière place.
Manon Melis, auteur d'un doublé (photo archives)
CO-ORGANISATION
L'Ecosse est l'organisateur principal de ce tournoi conjointement avec l'Angleterre et les Pays-Bas. Sur place, c'est avec Erinos Tours que les conditions d'hébergement et de déplacements ont été mises en place.
REGLEMENT FLUCTUANT !
Initialement chaque nation pouvait apporter 20 joueuses pour disputer la compétition. Mais quelques jours avant le démarrage de la compétition, des nations comme l'Angleterre avait prévu d'amener 22 joueuses. Et le règlement a évolué passant de 20 à 22 ! CQFD
CLASSEMENT
Pour ce tournoi, le système de points appliqué est : 3, 1 et 0. En cas d'égalité, les équipes sont en premier lieu départagées par les confrontations directes.
TROPHEE MEILLEURE BUTEUSE
Un prix sera offert à la meilleure buteuse du tournoi. En cas d'égalité, le prix reviendra à la joueuse qui aura joué le moins de temps. Si l'égalité persiste, le prix reviendra à la joueuse la plus jeune. Après une journée, deux joueuses se partagent la première place : l'Hollandaise Manon Melis et l'Anglaise Katie Chapman.
L'Ecosse est l'organisateur principal de ce tournoi conjointement avec l'Angleterre et les Pays-Bas. Sur place, c'est avec Erinos Tours que les conditions d'hébergement et de déplacements ont été mises en place.
REGLEMENT FLUCTUANT !
Initialement chaque nation pouvait apporter 20 joueuses pour disputer la compétition. Mais quelques jours avant le démarrage de la compétition, des nations comme l'Angleterre avait prévu d'amener 22 joueuses. Et le règlement a évolué passant de 20 à 22 ! CQFD
CLASSEMENT
Pour ce tournoi, le système de points appliqué est : 3, 1 et 0. En cas d'égalité, les équipes sont en premier lieu départagées par les confrontations directes.
TROPHEE MEILLEURE BUTEUSE
Un prix sera offert à la meilleure buteuse du tournoi. En cas d'égalité, le prix reviendra à la joueuse qui aura joué le moins de temps. Si l'égalité persiste, le prix reviendra à la joueuse la plus jeune. Après une journée, deux joueuses se partagent la première place : l'Hollandaise Manon Melis et l'Anglaise Katie Chapman.
AMMOCHOSTOS
Ce nom est celui du stade où les Bleues ont joué leur premier match. D'une capacité de 4 000 places et construit en 1989. Ammochostos est le nom grec de Famagouste et a été donné en mémoire de cette ville qui est dans la zone chypriote occupé illégalement par les Turcs depuis 1974. Le club du Nea Salamina FC qui évoluait à l'origine au GS Evoras Stadium de Famagouste a pris ses bases ici dès sa construction après avoir temporairement utilisé d'autres stades de la ville.
SUPERVISION
Lors de cette première journée, André Barthélémy n'était pas aux côtés de Bruno Bini, mais il s'était rendu à la rencontre Angleterre - Afrique du Sud afin de pouvoir juger du niveau des deux autres formations du groupe.
DIACRE
Corinne Diacre qui continue la préparation de son diplôme de formateur au sein des Girondins de Bordeaux rejoindra Chypre et le staff tricolore samedi.
Ce nom est celui du stade où les Bleues ont joué leur premier match. D'une capacité de 4 000 places et construit en 1989. Ammochostos est le nom grec de Famagouste et a été donné en mémoire de cette ville qui est dans la zone chypriote occupé illégalement par les Turcs depuis 1974. Le club du Nea Salamina FC qui évoluait à l'origine au GS Evoras Stadium de Famagouste a pris ses bases ici dès sa construction après avoir temporairement utilisé d'autres stades de la ville.
SUPERVISION
Lors de cette première journée, André Barthélémy n'était pas aux côtés de Bruno Bini, mais il s'était rendu à la rencontre Angleterre - Afrique du Sud afin de pouvoir juger du niveau des deux autres formations du groupe.
DIACRE
Corinne Diacre qui continue la préparation de son diplôme de formateur au sein des Girondins de Bordeaux rejoindra Chypre et le staff tricolore samedi.
