Philippe Bergeroo serein avant le départ
>> Le bilan du match
Déjà, ce qui m'a plu c'est la victoire parce que c'est important de gagner le dernier match en France. On a gagné les trois matchs après la défaite contre les Américaines, le Canada, la Russie et l'Ecosse. Après cela a été un très bon match pour nous dans l'intensité. On a joué des équipes qui jouaient en contre. Je suis satisfait du jeu qui a été mis en place en utilisant la largeur et la profondeur. Sur le plan collectif, c'était pas mal du tout. C'est vrai que sur la finition, on manque un peu de lucidité mais je pense que cela vient du manque de fraîcheur. On est en pleine période de travail.
>> Le manque de réalisme
Cela ne m'inquiète pas du tout. L'équipe depuis 18 mois a marqué beaucoup de buts, j'aurai signé pour ces deux victoires parce que je sais qu'il s'agit de périodes compliquées pour les filles qui ont mal aux jambes. Si elles n'avaient pas mal, ce serait anormal. Il y a encore un gros travail jusqu'à samedi. Après on va baisser l'intensité pour arriver à une semaine d'affûtage. Il y a eu un peu de déchets dans la dernière passe, dans la finition mais cela ne m'inquiète pas du tout.
>> Les blessures
Claire (Lavogez) a pris un coup mais je ne pense pas que ce soit très grave. Amel Majri va recommencer lundi et Sabrina Delannoy va recommencer aussi lundi. Je touche du bois, on a été pas mal épargné par les blessures sur les matchs où c'était quand même des impacts assez costauds.
Déjà, ce qui m'a plu c'est la victoire parce que c'est important de gagner le dernier match en France. On a gagné les trois matchs après la défaite contre les Américaines, le Canada, la Russie et l'Ecosse. Après cela a été un très bon match pour nous dans l'intensité. On a joué des équipes qui jouaient en contre. Je suis satisfait du jeu qui a été mis en place en utilisant la largeur et la profondeur. Sur le plan collectif, c'était pas mal du tout. C'est vrai que sur la finition, on manque un peu de lucidité mais je pense que cela vient du manque de fraîcheur. On est en pleine période de travail.
>> Le manque de réalisme
Cela ne m'inquiète pas du tout. L'équipe depuis 18 mois a marqué beaucoup de buts, j'aurai signé pour ces deux victoires parce que je sais qu'il s'agit de périodes compliquées pour les filles qui ont mal aux jambes. Si elles n'avaient pas mal, ce serait anormal. Il y a encore un gros travail jusqu'à samedi. Après on va baisser l'intensité pour arriver à une semaine d'affûtage. Il y a eu un peu de déchets dans la dernière passe, dans la finition mais cela ne m'inquiète pas du tout.
>> Les blessures
Claire (Lavogez) a pris un coup mais je ne pense pas que ce soit très grave. Amel Majri va recommencer lundi et Sabrina Delannoy va recommencer aussi lundi. Je touche du bois, on a été pas mal épargné par les blessures sur les matchs où c'était quand même des impacts assez costauds.
"On sera jugé sur cette Coupe du Monde"
>> Le synthétique
On est dans les meilleures conditions ici à Nancy, cela nous a posé aucun problème. L'avantage que l'on a, c'est que notre préparateur physique (Frédéric Aubert), s'est occupé de la préparation des U20 sur la Coupe du Monde au Canada. Il amène de l'expérience. La première semaine a été consacrée à de l'adaptation sur cette surface avec un travail d'appui, un travail de proprio-réceptivité. Pour l'instant, il n'y a pas de problème.
>>L'attente du public
J'espère que l'on fera quelque chose de grand, de très grand. Je l'ai toujours dit, on s'est rapproché des meilleures nations mais maintenant il faut confirmer. On sera jugé que sur cette Coupe du Monde. Tout le monde est conscient de la pression. Mais c'est une bonne pression, on est 3e au classement FIFA. C'est la 3e Coupe du Monde pour l'équipe de France, à nous de saisir les opportunités. Les filles le savent.
>> Le match de Marie-Laure Delie
Elle a fait une très bonne entrée. Cela fait un moment qu'elle a retrouvé des sensations. Elle fait un super match en Champions League avec le Paris-Saint-Germain, c'est tout fait normal qu'aujourd'hui, je l'associe à Claire Lavogez. Contre la Russie, j'avais associé Gaëtane Thiney avec Eugénie Le Sommer. Cela me permet d'essayer une autre paire d'attaquantes.
A Nancy,
Sébastien Duret
>> VOIR AUSSI : Le compte-rendu du match
On est dans les meilleures conditions ici à Nancy, cela nous a posé aucun problème. L'avantage que l'on a, c'est que notre préparateur physique (Frédéric Aubert), s'est occupé de la préparation des U20 sur la Coupe du Monde au Canada. Il amène de l'expérience. La première semaine a été consacrée à de l'adaptation sur cette surface avec un travail d'appui, un travail de proprio-réceptivité. Pour l'instant, il n'y a pas de problème.
>>L'attente du public
J'espère que l'on fera quelque chose de grand, de très grand. Je l'ai toujours dit, on s'est rapproché des meilleures nations mais maintenant il faut confirmer. On sera jugé que sur cette Coupe du Monde. Tout le monde est conscient de la pression. Mais c'est une bonne pression, on est 3e au classement FIFA. C'est la 3e Coupe du Monde pour l'équipe de France, à nous de saisir les opportunités. Les filles le savent.
>> Le match de Marie-Laure Delie
Elle a fait une très bonne entrée. Cela fait un moment qu'elle a retrouvé des sensations. Elle fait un super match en Champions League avec le Paris-Saint-Germain, c'est tout fait normal qu'aujourd'hui, je l'associe à Claire Lavogez. Contre la Russie, j'avais associé Gaëtane Thiney avec Eugénie Le Sommer. Cela me permet d'essayer une autre paire d'attaquantes.
A Nancy,
Sébastien Duret
>> VOIR AUSSI : Le compte-rendu du match
