photo UEFA
On a remarqué que la conférence Allemande était beaucoup plus détendue et sereine alors que pour l’Angleterre Sarina Wiegman était déjà concentrée et bien dans son match. Les deux entraineures ont rejeté les suggestions des journalistes en référence au match des équipes masculines de 1966. L’entraineuse Allemande mentionnant même qu’elle était née en 1967.
Il faut noter que si l’Angleterre fait de l’Allemagne l’un de ses principal adversaire, la réciproque n’est pas vraie. La notion de rivalité a donc fait long feu, puisque Voss-Teklenburg n’a pas mordu à l’hameçon et Wiegman étant hollandaise n’a pas été élevée dans cette rivalité. Au bout du compte, on a eu droit a beaucoup de réponses convenues et politiquement correctes, même si Leah Williamson en a profité pour parler de l’après tournoi et du développement du football féminin qui devra s’accélère en Angleterre, un thème également évoqué par Martina Voss-Tecklenburg pour le football féminin allemand.
On notera également que Sarina Wiegman n’hésite pas à remettre en place les journalistes qui posent des questions qui lui semblent inintéressantes. Par exemple, un journaliste lui a demandé s’ils avaient travaillé les tirs aux buts. Sa réponse sèche : vous m’avez déjà posé la même question lors d’une conférence de presse précédente…La dernière question de la conférence de presse était une question sur les jeunes joueuses qui s’était révélée lors du tournoi. La réponse a fusé, ce n’est ni le lieu ni l’endroit pour parler de cela, nous parlons d’une finale contre l’Allemagne que nous préparons du mieux que nous le pouvons. Au final, on n’a pas appris grand-chose à part le forfait définitif de Klara Bühl.
Il faut noter que si l’Angleterre fait de l’Allemagne l’un de ses principal adversaire, la réciproque n’est pas vraie. La notion de rivalité a donc fait long feu, puisque Voss-Teklenburg n’a pas mordu à l’hameçon et Wiegman étant hollandaise n’a pas été élevée dans cette rivalité. Au bout du compte, on a eu droit a beaucoup de réponses convenues et politiquement correctes, même si Leah Williamson en a profité pour parler de l’après tournoi et du développement du football féminin qui devra s’accélère en Angleterre, un thème également évoqué par Martina Voss-Tecklenburg pour le football féminin allemand.
On notera également que Sarina Wiegman n’hésite pas à remettre en place les journalistes qui posent des questions qui lui semblent inintéressantes. Par exemple, un journaliste lui a demandé s’ils avaient travaillé les tirs aux buts. Sa réponse sèche : vous m’avez déjà posé la même question lors d’une conférence de presse précédente…La dernière question de la conférence de presse était une question sur les jeunes joueuses qui s’était révélée lors du tournoi. La réponse a fusé, ce n’est ni le lieu ni l’endroit pour parler de cela, nous parlons d’une finale contre l’Allemagne que nous préparons du mieux que nous le pouvons. Au final, on n’a pas appris grand-chose à part le forfait définitif de Klara Bühl.
