Après avoir assuré l'essentiel en Roumanie (0-1), malgré la perte sur blessure de Necib, les Françaises ont pu voir qu'un adversaire accrocheur quel que soit son niveau, les mettaient en difficulté. Face à l'Ukraine, devant le public valenciennois, c'est probablement le même scénario auquel il faudra s'attendre. Un adversaire attentiste en 4-1-4-1 qui cherchera à jouer en contre. L'Ukraine qui reste sur un statut de barragiste lors du dernier Mondial, doit se battre avec la Roumanie pour la seconde place du groupe.
Si la France est toujours annoncée supérieure, avec son statut de numéro 3 mondial, sa récurrence à ne pas marquer dans le jeu devient un problème qui n'a pas encore trouvé sa solution avec l'effectif actuel. Avec un jeu manquant de créativité et de mobilité, l'attaque française n'a pas réussi à déstabiliser son adversaire roumain vendredi dernier. Il faudra donc faire autrement ce lundi soir pour ne pas attendre qu'un nouvel hypothétique penalty ne fasse la différence.
Si la France est toujours annoncée supérieure, avec son statut de numéro 3 mondial, sa récurrence à ne pas marquer dans le jeu devient un problème qui n'a pas encore trouvé sa solution avec l'effectif actuel. Avec un jeu manquant de créativité et de mobilité, l'attaque française n'a pas réussi à déstabiliser son adversaire roumain vendredi dernier. Il faudra donc faire autrement ce lundi soir pour ne pas attendre qu'un nouvel hypothétique penalty ne fasse la différence.
"Il faut avoir un regard de tueuse"
Si la qualification ne fait plus de doute, même s'il faut gagner pour la confirmer, le plus grand chantier reste l'attaque. Un problème qui est sans cesse ressasser par tous les acteurs. Et si le sléectionneur Philippe Bergerôo le rappelle sans en apporter la solution : "Le plus grand chantier, c’est la finition. Quand on est attaquante, il faut avoir un regard de tueuse. Et nous, on a du mal à tuer le match". Ce mental de tueur manque à une équipe de France qui en a semble-t-il le potentiel mais pas encore trouver la page du manuel.
Arrivées samedi à Valenciennes, les Bleues ont pu en tout cas retrouver le soutien populaire qu'elles n'avaient plus connu depuis près de six mois. Le dernier match en France remonte à la rencontre amicale perdue face aux Pays-Bas au stade Jean Bouin à Paris (2-1).
Sur le stade du Hainaut, les Françaises pourront se rappeler qu'à aller, elles avaient remporté une victoire 3-0 grâce à Delie, Bussaglia et Majri. Le festival offensif sera-t-il enfin de retour ? Henry qui n'a pas participé au premier match devrait faire son retour dans une région qu'elle connait bien pour en être originaire. Son retour pourrait en tout cas faire du bien à la sélection.
Arrivées samedi à Valenciennes, les Bleues ont pu en tout cas retrouver le soutien populaire qu'elles n'avaient plus connu depuis près de six mois. Le dernier match en France remonte à la rencontre amicale perdue face aux Pays-Bas au stade Jean Bouin à Paris (2-1).
Sur le stade du Hainaut, les Françaises pourront se rappeler qu'à aller, elles avaient remporté une victoire 3-0 grâce à Delie, Bussaglia et Majri. Le festival offensif sera-t-il enfin de retour ? Henry qui n'a pas participé au premier match devrait faire son retour dans une région qu'elle connait bien pour en être originaire. Son retour pourrait en tout cas faire du bien à la sélection.
Championnat d'Europe UEFA - Phase de qualification - Groupe 3
Lundi 11 avril 2016 - 21h00
FRANCE - UKRAINE
Valenciennes (Stade du Hainaut)
Arbitres : Eszter Urban (HON) assistée de Andrea Hima (HON) et Katalin Török (HON). 4e arbitre : Solenne Bartnik (FRA)
En direct sur D17
Lundi 11 avril 2016 - 21h00
FRANCE - UKRAINE
Valenciennes (Stade du Hainaut)
Arbitres : Eszter Urban (HON) assistée de Andrea Hima (HON) et Katalin Török (HON). 4e arbitre : Solenne Bartnik (FRA)
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