La décision a été prise à l’unanimité par le Conseil de la Fifa « compte tenu des progrès remarquables réalisés récemment par le football féminin à travers le monde », a expliqué l’instance dans un communiqué, avant son 75e congrès qui débute jeudi à Asuncion (Paraguay).
Comme les hommes, qui dès 2026 disputeront un premier Mondial à 48 (aux États-Unis, Canada et Mexique), l’épreuve reine des femmes va grossir de moitié à partir du tournoi prévu en 2031 aux États-Unis. « Compte tenu des progrès remarquables réalisés récemment par le football féminin à travers le monde, le Conseil de la Fifa a décidé à l’unanimité d’augmenter le nombre de participant de 32 à 48 », indique le communiqué. La décision était pressentie puisque le président de la Fifa Gianni Infantino l’avait annoncée lors du dernier Congrès de l’UEFA, en avril à Belgrade.
Elle a été formellement adoptée lors d’une dernière réunion en visioconférence avant le 75e Congrès qui commence jeudi dans la capitale du Paraguay. « Il ne s’agit pas seulement d’avoir 16 équipes supplémentaires mais de franchir une nouvelle étape dans le développement du football féminin en général », a expliqué M. Infantino, cité dans le communiqué. Il souhaite « que davantage (de) membres aient la possibilité de profiter du tournoi pour développer leurs propres structures de football féminin ».
Cette édition se déroulera avec une première phase à 12 groupes, faisant passer le nombre de matches de 64 à 104 et allongeant d'une semaine la compétition. L'édition 2023 a été la première à accueillir 32 nations participantes, après des tournois à 24 (en 2019 et 2015), à 16 (en 2011, 2007, 2003 et 1999), et à 12 (en 1995 et 1991).
Comme les hommes, qui dès 2026 disputeront un premier Mondial à 48 (aux États-Unis, Canada et Mexique), l’épreuve reine des femmes va grossir de moitié à partir du tournoi prévu en 2031 aux États-Unis. « Compte tenu des progrès remarquables réalisés récemment par le football féminin à travers le monde, le Conseil de la Fifa a décidé à l’unanimité d’augmenter le nombre de participant de 32 à 48 », indique le communiqué. La décision était pressentie puisque le président de la Fifa Gianni Infantino l’avait annoncée lors du dernier Congrès de l’UEFA, en avril à Belgrade.
Elle a été formellement adoptée lors d’une dernière réunion en visioconférence avant le 75e Congrès qui commence jeudi dans la capitale du Paraguay. « Il ne s’agit pas seulement d’avoir 16 équipes supplémentaires mais de franchir une nouvelle étape dans le développement du football féminin en général », a expliqué M. Infantino, cité dans le communiqué. Il souhaite « que davantage (de) membres aient la possibilité de profiter du tournoi pour développer leurs propres structures de football féminin ».
Cette édition se déroulera avec une première phase à 12 groupes, faisant passer le nombre de matches de 64 à 104 et allongeant d'une semaine la compétition. L'édition 2023 a été la première à accueillir 32 nations participantes, après des tournois à 24 (en 2019 et 2015), à 16 (en 2011, 2007, 2003 et 1999), et à 12 (en 1995 et 1991).
« Accélérer les investissements »
Que plus d’équipes puissent « accéder à la compétition d’élite » permettra d’ « accélérer les investissements dans le football féminin à travers le monde », précise la Fifa. La prochaine édition de la Coupe du monde féminine, en 2027 au Brésil, reste à 32 équipes. Les éditions suivantes pourraient se tenir en 2031 aux États-Unis, seule candidature pour l’heure, et en 2035 au Royaume-Uni, qui a présenté un dossier. Pour organiser l’évènement, les États-Unis pourraient s’associer à « quelques autres membres de la Concacaf », la confédération d’Amérique Centrale, du Nord et des Caraïbes, avait précisé à Belgrade M. Infantino, à l’image de l’organisation à trois du Mondial-2026 masculin.