La mascotte de l'Euro au Bélarus
Une approche positive
Championne d'Europe en 2003 et finaliste à quatre autres reprises, la France a déçu son public en étant éliminée en phase de groupes l'été dernier, dans l'édition organisée en Ligue du Centre. Mais sous l'impulsion de Degrange, cette équipe a rebondi : après avoir éliminé le Pays de Galles, le Portugal et l'Azerbaïdjan au deuxième tour de qualification, les Bleuettes feront partie des favorites en juillet. Tirées au sort dans un groupe difficile, avec l'Allemagne, la Suisse et le Bélarus (pays organisateur), elles ne trahiront pas leur tradition offensive.
"Nous ne changerons pas"
"Nous ne connaissons qu'une seule manière de jouer", déclare Degrange, le successeur de Stéphane Pilard, qui dirige désormais la sélection nationale féminine des moins de 20 ans. "Nous ne changerons pas notre jeu en fonction de notre adversaire. Nous ne fonctionnons pas en défendant en bloc pour opérer en contres. Notre jeu, c'est de jouer dans le camp adverse. Dans certains matches, nous devrons être plus vigilants, mais nous ne nous contenterons pas de défendre."
Championne d'Europe en 2003 et finaliste à quatre autres reprises, la France a déçu son public en étant éliminée en phase de groupes l'été dernier, dans l'édition organisée en Ligue du Centre. Mais sous l'impulsion de Degrange, cette équipe a rebondi : après avoir éliminé le Pays de Galles, le Portugal et l'Azerbaïdjan au deuxième tour de qualification, les Bleuettes feront partie des favorites en juillet. Tirées au sort dans un groupe difficile, avec l'Allemagne, la Suisse et le Bélarus (pays organisateur), elles ne trahiront pas leur tradition offensive.
"Nous ne changerons pas"
"Nous ne connaissons qu'une seule manière de jouer", déclare Degrange, le successeur de Stéphane Pilard, qui dirige désormais la sélection nationale féminine des moins de 20 ans. "Nous ne changerons pas notre jeu en fonction de notre adversaire. Nous ne fonctionnons pas en défendant en bloc pour opérer en contres. Notre jeu, c'est de jouer dans le camp adverse. Dans certains matches, nous devrons être plus vigilants, mais nous ne nous contenterons pas de défendre."
La sélection lors du second tour (photo : DR)
L'Allemagne pour commencer
L'arrière-garde française n'a pas réellement été mise à contribution pendant une campagne de qualification où elle n'a concédé qu'un seul but. Elle devrait cependant avoir davantage de travail en Bélarus, notamment lors de son premier match du Groupe A, face à l'Allemagne quintuple championne d'Europe. "Le problème pendant les qualifications, c'est que nos adversaires se concentraient surtout sur le fait de ne pas encaisser de but", explique Degrange. "Nous avons dû être très patients, nous appliquer et tenter d'exploiter le moindre espace. Ces matches seront complètement différents. Nos adversaires tenteront de nous attaquer : les rencontres seront plus ouvertes, et plus agréables aussi, j'espère."
"D'excellentes équipes"
Degrange a été encouragé par les prestations de son équipe au tournoi de La Manga en mars dernier, où les Françaises ont fait match nul face aux États-Unis et ont battu la Suède qualifiée pour l'Euro. "Ces matches nous ont vraiment aidé, comme ils nous ont donné une idée du niveau des équipes que nous affronterons au Championnat d'Europe", commente le sélectionneur, qui estime que tous les participants peuvent l'emporter. "Il y a beaucoup d'excellentes équipes, et tout le monde aura sa chance."
"Un groupe disputé"
"L'Allemagne semble légèrement au-dessus du lot : c'est donc dur de devoir commencer par elles. Mais nous ne nous attacherons pas trop au résultat de notre premier match. Si nous perdons, nous aurons encore une chance de nous qualifier, et si nous gagnons, nous pourrons encore être éliminés. La Suisse a été impressionnante en qualifications, en battant l'Italie championne en titre. Ce ne sera pas facile non plus d'affronter le pays organisateur. Je ne connais pas les Bélarusses, mais j'imagine qu'elles seront un peu plus défensives que les autres équipes."
Source : uefa.com
L'arrière-garde française n'a pas réellement été mise à contribution pendant une campagne de qualification où elle n'a concédé qu'un seul but. Elle devrait cependant avoir davantage de travail en Bélarus, notamment lors de son premier match du Groupe A, face à l'Allemagne quintuple championne d'Europe. "Le problème pendant les qualifications, c'est que nos adversaires se concentraient surtout sur le fait de ne pas encaisser de but", explique Degrange. "Nous avons dû être très patients, nous appliquer et tenter d'exploiter le moindre espace. Ces matches seront complètement différents. Nos adversaires tenteront de nous attaquer : les rencontres seront plus ouvertes, et plus agréables aussi, j'espère."
"D'excellentes équipes"
Degrange a été encouragé par les prestations de son équipe au tournoi de La Manga en mars dernier, où les Françaises ont fait match nul face aux États-Unis et ont battu la Suède qualifiée pour l'Euro. "Ces matches nous ont vraiment aidé, comme ils nous ont donné une idée du niveau des équipes que nous affronterons au Championnat d'Europe", commente le sélectionneur, qui estime que tous les participants peuvent l'emporter. "Il y a beaucoup d'excellentes équipes, et tout le monde aura sa chance."
"Un groupe disputé"
"L'Allemagne semble légèrement au-dessus du lot : c'est donc dur de devoir commencer par elles. Mais nous ne nous attacherons pas trop au résultat de notre premier match. Si nous perdons, nous aurons encore une chance de nous qualifier, et si nous gagnons, nous pourrons encore être éliminés. La Suisse a été impressionnante en qualifications, en battant l'Italie championne en titre. Ce ne sera pas facile non plus d'affronter le pays organisateur. Je ne connais pas les Bélarusses, mais j'imagine qu'elles seront un peu plus défensives que les autres équipes."
Source : uefa.com
(photos : BFF)
