"Dans notre groupe, la France part clairement favorite. Notre objectif, c’est la deuxième place", explique Schnaderbeck, la milieu de terrain de 22 ans, à FIFA.com. "À mon avis, on sera à la lutte avec la Finlande", ajoute Feiersinger, de deux ans sa cadette. Cette dernière est déjà présentée par Thomas Wöhrle, l’entraîneur du Bayern, comme le plus grand espoir du football féminin autrichien. Les deux jeunes femmes devront également se mesurer au Kazakhstan, à la Bulgarie et à la Hongrie. La tâche ne sera pas facile, comme l’ont montré les deux premières journées. Les Autrichiennes ont d’abord battu la Bulgarie (4:0), avant de s'incliner 2:1 en Finlande.
Quel cap pour l’avenir ?
Pourtant les deux Munichoises d’adoption ont des raisons d’être optimistes. "L’équipe est nettement plus jeune qu’avant", souligne Schnaderbeck. Auteure d'un doublé face à la Bulgarie, Feiersinger déplore quant à elles quelques faiblesses, notamment sur le plan offensif : "Notre manque de réalisme reste notre principale lacune. On s’offre beaucoup d’occasions, mais on est rarement récompensées".
Les deux joueuses s’accordent pourtant à dire que l’équipe est sur la bonne voie : "Les progrès sont lents et difficiles, mais continus. Le centre national constitue une base solide. Au fil du temps, beaucoup de choses ont changé, d’un point de vue technique et tactique comme en termes de préparation physique", explique Schnaderbeck.
Schnaderbeck voit un avantage dans la présence de nombreuses Autrichiennes en Allemagne ou dans d'autres championnats étrangers. "Les exigences y sont beaucoup plus élevées. C’est quelque chose que nous pouvons ensuite apporter en équipe nationale." Par rapport au championnat autrichien, "le jeu est vraiment beaucoup plus rigoureux en Allemagne. En plus, la condition physique est maintenant devenue si importante qu’il faut se maintenir à son meilleur niveau pour faire jeu égal avec ses adversaires. Sans parler de l’aspect tactique ! Défensivement, tout le monde est capable de bien jouer. La grosse différence se fait sur le rythme et sur le talent individuel des joueuses".
Quel cap pour l’avenir ?
Pourtant les deux Munichoises d’adoption ont des raisons d’être optimistes. "L’équipe est nettement plus jeune qu’avant", souligne Schnaderbeck. Auteure d'un doublé face à la Bulgarie, Feiersinger déplore quant à elles quelques faiblesses, notamment sur le plan offensif : "Notre manque de réalisme reste notre principale lacune. On s’offre beaucoup d’occasions, mais on est rarement récompensées".
Les deux joueuses s’accordent pourtant à dire que l’équipe est sur la bonne voie : "Les progrès sont lents et difficiles, mais continus. Le centre national constitue une base solide. Au fil du temps, beaucoup de choses ont changé, d’un point de vue technique et tactique comme en termes de préparation physique", explique Schnaderbeck.
Schnaderbeck voit un avantage dans la présence de nombreuses Autrichiennes en Allemagne ou dans d'autres championnats étrangers. "Les exigences y sont beaucoup plus élevées. C’est quelque chose que nous pouvons ensuite apporter en équipe nationale." Par rapport au championnat autrichien, "le jeu est vraiment beaucoup plus rigoureux en Allemagne. En plus, la condition physique est maintenant devenue si importante qu’il faut se maintenir à son meilleur niveau pour faire jeu égal avec ses adversaires. Sans parler de l’aspect tactique ! Défensivement, tout le monde est capable de bien jouer. La grosse différence se fait sur le rythme et sur le talent individuel des joueuses".
La victoire dans les gènes
Pour les deux joueuses, le football est avant tout une histoire de famille. Wolfgang, le père de Laura Feiersinger, a également été professionnel. Il a joué, entre autres, au Borussia Dortmund avec qui a gagné la Ligue des champions de l’UEFA. Viktoria Schnaderbeck compte elle aussi un footballeur célèbre dans sa famille : son cousin Sebastian Prödl, le défenseur central du Werder Brême.
L'année dernière, le duo autrichien a remporté la Coupe d'Allemagne avec le Bayern. En finale à Cologne, les Bavaroises ont créé la surprise en battant le 1. FFC Francfort, pourtant largement favori. "C’était mon premier titre et l’instant était magique. À l’époque, personne ne misait sur nous et nous avons gagné 2:0", rappelle Feiersinger.
Bien entendu, elles ne comptent pas en rester là avec leur club. Leur objectif pour cette saison ? "Mettre en place un jeu offensif et gagner en régularité par rapport à ces dernières années." C’est aussi pour l’équipe nationale que Schnaderbeck et Feiersinger veulent s’améliorer avec le club. Quand on leur demande leurs ambitions pour l’avenir, elles répondent unanimement : "Participer à un Euro ou à une Coupe du Monde. Ce serait un formidable défi à relever !"
L'année dernière, le duo autrichien a remporté la Coupe d'Allemagne avec le Bayern. En finale à Cologne, les Bavaroises ont créé la surprise en battant le 1. FFC Francfort, pourtant largement favori. "C’était mon premier titre et l’instant était magique. À l’époque, personne ne misait sur nous et nous avons gagné 2:0", rappelle Feiersinger.
Bien entendu, elles ne comptent pas en rester là avec leur club. Leur objectif pour cette saison ? "Mettre en place un jeu offensif et gagner en régularité par rapport à ces dernières années." C’est aussi pour l’équipe nationale que Schnaderbeck et Feiersinger veulent s’améliorer avec le club. Quand on leur demande leurs ambitions pour l’avenir, elles répondent unanimement : "Participer à un Euro ou à une Coupe du Monde. Ce serait un formidable défi à relever !"