Si le coup d’envoi de la tant attendue Coupe du monde de football féminin de la FIFA avait déjà été donné plus tôt dans la journée par la Nouvelle-Zélande, pays co-hôte de la compétition et qui a triomphé de la Norvège (1-0), c’était tout un pays qui s’était déplacé ce jeudi soir pour soutenir les Matildas.
Feu d’artifice devant le stade, feu d’artifice dans les tribunes puis feu d’artifice sur le terrain : la fête était partout. Chorégraphies d’un côté, chants au refrain de « Australia ! » de l’autre. Dans le stade, les promesses étaient tenues. 75 784 personnes présentes, une affluence record pour un match de football féminin. « C’était incroyable, vraiment génial de voir autant de femmes et familles supporter l’équipe nationale. » se réjouissait Danielle, fan de la première heure des Matildas.
Même le forfait de dernière minute de Sam Kerr, annoncé juste avant la partie, n’est pas parvenue à rafraîchir l’ambiance d’un stade chauffé à blanc pour l’occasion, rempli de supporters tout de jaune et vert vêtus. « Même si ne pas avoir Sam (Kerr), c’était évidemment une grosse perte, on a de très bonnes joueuses donc je n’étais pas inquiet » relativisait Marco. Ne manquait donc qu’à transposer la fête au terrain, et là encore, les Matildas ont répondu.
Feu d’artifice devant le stade, feu d’artifice dans les tribunes puis feu d’artifice sur le terrain : la fête était partout. Chorégraphies d’un côté, chants au refrain de « Australia ! » de l’autre. Dans le stade, les promesses étaient tenues. 75 784 personnes présentes, une affluence record pour un match de football féminin. « C’était incroyable, vraiment génial de voir autant de femmes et familles supporter l’équipe nationale. » se réjouissait Danielle, fan de la première heure des Matildas.
Même le forfait de dernière minute de Sam Kerr, annoncé juste avant la partie, n’est pas parvenue à rafraîchir l’ambiance d’un stade chauffé à blanc pour l’occasion, rempli de supporters tout de jaune et vert vêtus. « Même si ne pas avoir Sam (Kerr), c’était évidemment une grosse perte, on a de très bonnes joueuses donc je n’étais pas inquiet » relativisait Marco. Ne manquait donc qu’à transposer la fête au terrain, et là encore, les Matildas ont répondu.
"On méritait cette victoire"
« Le début était poussif. Franchement, même si on avait confiance en elles, à la mi-temps, on était un peu inquiets » racontait Connor après le coup de sifflet final dans les travées du stade Olympique. Longtemps, les débats ont été équilibrés. Inhibées sans doute par la pression, les joueuses de Tony Gustavsson ont mis du temps à se montrer dangereuses et ont paru bousculées dans l’impact physique. « On a assez peu reconnu notre équipe en première mi-temps » commentait Greg. « La première heure a été très tendue, on sentait beaucoup de tension des deux côtés… et il y en avait chez nous aussi. »
C’est au retour des vestiaires que la décision s’est faite. Un penalty transformé par la capitaine Steph Catley a suffi à rassurer (pour un temps), les inquiétudes des supporters des Matildas. « Le but, c’était vraiment une délivrance. Steph (Catley) a vraiment fait un super match, elle mérite de marquer » résumait Danielle. Constat partagé par Connor, maillot floqué au nom de la capitaine du soir sur le dos. « On a été chanceux par moments, les irlandaises ont été combatives jusqu’au bout. Mais au final, on méritait cette victoire. »
Un succès étriqué mais capital, que certains comme Tim, 13 ans, voient comme un présage d’une compétition festive : « C’était vraiment un super match, c’est génial de commencer ainsi. Nous allons la gagner (la coupe du monde), c’est une certitude ». Prochain rendez-vous pour les partenaires d’Ellie Carpenter du côté de Brisbane, jeudi prochain, où les Australiennes retrouveront, dans un engouement sans nul doute similaire, le Nigeria pour leur deuxième match de phase de groupes.
C’est au retour des vestiaires que la décision s’est faite. Un penalty transformé par la capitaine Steph Catley a suffi à rassurer (pour un temps), les inquiétudes des supporters des Matildas. « Le but, c’était vraiment une délivrance. Steph (Catley) a vraiment fait un super match, elle mérite de marquer » résumait Danielle. Constat partagé par Connor, maillot floqué au nom de la capitaine du soir sur le dos. « On a été chanceux par moments, les irlandaises ont été combatives jusqu’au bout. Mais au final, on méritait cette victoire. »
Un succès étriqué mais capital, que certains comme Tim, 13 ans, voient comme un présage d’une compétition festive : « C’était vraiment un super match, c’est génial de commencer ainsi. Nous allons la gagner (la coupe du monde), c’est une certitude ». Prochain rendez-vous pour les partenaires d’Ellie Carpenter du côté de Brisbane, jeudi prochain, où les Australiennes retrouveront, dans un engouement sans nul doute similaire, le Nigeria pour leur deuxième match de phase de groupes.